Journal incorrect d'un médecin légiste

16,00 € TTC

Une plongée en récits dans le quotidien d'un médecin légiste. Héritier d'une médecine humaniste, l'auteur montre l'inquiétante évolution de la médecine. En témoin privilégié de son époque, Michel Debout offre un tableau de la société et de ses violences des années 1970 à aujourd'hui.

« De quoi est donc morte cette jeune femme dont le corps sur la table d’autopsie ne présente ni hématome, ni traumatisme, ni blessure liée à un projectile ou une arme ? » Chaque récit de ce livre nous plonge dans le quotidien d’un médecin légiste, et nous convainc que ce métier ne saurait se réduire à l’examen des corps, ni se confiner à la salle d’autopsie.

Car ce « journal incorrect », découverte passionnante d’un métier peu commun, est aussi une réflexion sur l’inquiétante évolution de la médecine : quand celle-ci ne considère plus les patients comme des sujets mais seulement comme des corps, réduisant le médecin légiste à un expert en balistique et recherche d’ADN, que reste-t-il de sa vocation humaniste ?

Revenant sur les moments marquants de sa carrière, Michel Debout rappelle que le cœur de la médecine légale est la prise en charge des violences, sous toutes leurs formes. Des avortements illégaux aux violences sexistes, des agressions de rue aux braquages de petits commerces, de la souffrance au travail à celle du chômeur, le médecin légiste est, comme le prouve cet ouvrage, un témoin privilégié de notre époque.

Michel Debout
9782708253698
Services publics, santé et solidarités
14 cm * 20 cm
192 pages
28-01-2021

« Michel Debout nous fait partager le quotidien mouvementé d'un médecin légiste. »

Jacques Plaine, L’Essor du Vendredi, 26 février 2021.



« 
Si c’est [une] image romanesque du légiste que vous avez en tête, il est temps de lire le récent Journal incorrect d’un médecin légiste, de Michel Debout. »

Sandrine Cabut, Le Monde, 14 avril 2021.


« Chaque récit de ce livre nous plonge dans le quotidien d'un médecin légiste, et nous convainc que ce métier ne saurait se réduire à l'examen des corps, ni se confiner à la salle d'autopsie. »

Yasmina Ouharzoune, La revue de l'infirmière, mars 2021.